Ce cahier paru en 2013 présente le texte d’un spectacle inspiré par Les Javanais ainsi que deux études consacrées à Planète sans Visa.
Avant-propos
Le Cahier n°3 que vous allez découvrir a été, en partie, réalisé grâce au concours de l’Association Lou Suve de La Londe-les-Maures. Cette association très active, soutenue par la municipalité de La Londe-les-Maures avait, en juillet 2011, organisé un salon des écrivains londais auquel elle avait convié la Société Jean Malaquais : nous y avions donné une petite conférence sur la relation entre Les Javanais et La Londe-les-Maures, commune où se trouvait la mine argentifère que Jean Malaquais ressuscite dans le roman.
L’accueil très favorable qui nous avait été réservé s’explique par le travail considérable entrepris par les membres de l’Association Lou Suve. Ils organisaient, quelques mois plus tard, à l’occasion de la traditionnelle veillée des Treize desserts, la mise en scène d’un texte inspiré par le roman Les Javanais. Le spectacle fut donné en langue provençale. La Société Jean Malaquais est fière de vous faire connaître cette adaptation[1].
A cette veillée, participaient Dominique et Elisabeth Malaquais. C’est à cette occasion également que la médaille de « citoyen d’honneur » de la Ville de La Londe-les-Maures fut remise à titre posthume à Jean Malaquais par le maire de la ville, M. François de Canson.
La deuxième partie du Cahier est consacrée au roman Planète sans visa. On sait que cette œuvre est un univers. On ne s’étonnera donc pas que les deux études ici publiées portent sur des sujets très différents : l’un nous plongera dans la lutte clandestine pendant l’Occupation et l’autre nous fera retourner dans l’Antiquité… Ces deux communications ont été présentées par leurs auteurs lors de la troisième assemblée générale de la Société Jean Malaquais.
Je vous souhaite donc bonne lecture et reste ouverte à toutes vos remarques et contributions !
Malaquaisiennement vôtre,
Geneviève Nakach
[1] Les références données entre parenthèses renvoient au roman Les Javanais dans l’édition Libretto Phébus.